La dévirilisation de la société
La dévirilisation de la société, c'est tout accepter et tout justifier
au nom de la "non violence" et du "pacifisme" alors qu'il ne s'agit que
de trouille et de lâcheté .... la dévirilisation, c'est geindre à tout
bout de champ : "pas de vengeance, pas d'amalgame, du pardon !" alors
que sa fille se fait violer par une vingtaine de salopards "exotiques"
ou quand son fils se fait poignarder à mort pour un lecteur MP3 ... la
dévirilisation, c'est laisser une jeune femme se faire insulter dans le
métro ou une vieille se faire bousculer sans réagir.
La dévirilisation, c'est dire "Ouf, on a bien fait de ne pas aller en
Irak" non pas pour des raisons politiques de respect de souveraineté et
d'anti-impérialisme mais par peur des barbus ... la dévirilisation
c'est encore admettre (et même se féliciter) que dorénavant les
politiques étrangères et intérieures des Etats européens soient dictées
par les injonctions de l'islam politique ....
Bien évidemment, la dévirilisation de la société n'est pas uniquement
liée à l'islam et à ses pendants immigrationnistes. Le déculottage
systématique face à un islam politique n'est bien sûr qu'un symptome
parmi d'autres.
Prenons comme autre exemple, les lois concernant l'homophobie qui ne
sont ni plus ni moins que des lois liberticides interdisant toute
critique de la communauté des élargis de l'arrière-train ...
A quand donc l'obligation de se faire sodomiser par solidarité citoyenne envers les minorités ?
Comme le dit Alain Soral, "ce n'est pas parce qu'il est réactionnaire de tabasser les pédés, qu'il est devenu progressiste de se faire enculer".
Ainsi, tout est mis en oeuvre pour désarmer psychologiquement et
moralement le peuple, pour le priver de ses sains réflexes de dignité
et d'auto-défense. Ne sont plus valorisés aujourd'hui que le
renoncement, la fuite, l'excuse, la passivité, la repentance ...
valeurs au mieux de domestiques, au pire d'esclaves ...
Pourtant aucune haine ni sanctification névrotique de la violence dans
la simple revendication du droit à se faire respecter, à rester debout
et à préférer l'honneur du combat à l'humiliation de la retraite
obligatoire en toutes circonstances.
Pour que la non-violence soit une véritable valeur digne de ce nom, il
faut qu'elle soit un véritable choix et non la conséquence d'une
faiblesse absolue.
C'est la possibilité, proclamée et prouvée, de frapper en cas de
nécessité qui donne son sens et sa dignité au fait de retenir ses coups.