Chasse au Président : M. Fillon dénonce une gauche de merde !
"Oui au débat d'idées, mais non à la chasse", s'est insurgé le Premier ministre, François Fillon, devant des militants UMP à Laval, en Mayenne déplorant l'acharnement envers le Président de la République, Nicolas Sarkozy, qui tient plus lieu d'une volonté de "mise à mort" qu'une envie de dialoguer.
Pour
M. Fillon, toutes ces attaques orchestrées par une grande partie de la
gauche n'a qu'un objectif : freiner les réformes engagées. Il dénonce
encore, des attaques d'une "violence inouïe" et jamais vue dans
l'histoire de la Ve République. Pour lui, les limites de l'acceptable
ont été franchies.
Il s'en est pris aussi au "mur des
conservatismes" qui tenterait d'empêcher le Président et son équipe
gouvernementale d'opérer les réformes nécessaires. Puis de fustiger
l'appel à la "vigilance républicaine" signé dans le journal Marianne
par l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin, Ségolène Royal (PS) et
François Bayrou (MoDem) qu'il qualifie d'attitude profondément
"anti-démocratique".
Il y a, pour le Premier ministre, une
volonté de déstabiliser le Président de la République mais il réaffirme
qu'il ira jusqu'au bout, soutenu par une équipe solide et faisant bloc
derrière.
"Il y a eu des élections présidentielles en 2007, il y aura des élections présidentielles en 2012 et les Français choisiront", a-t-il conclu.
De
toute manière, si la gauche s'en prend tant au Président et au
gouvernement, c'est pour démontrer finalement le creux et le vide de
leurs idées.
La gauche n'a pas d'autre alternative que
critiquer, attaquer, comme d'habitude. Mais cette fois, en usant de
méthodes bien déloyales, malhonnêtes, soutenues et encouragées par des
journaux de merde, des torche-cul écrits par des handicapés du cerveau.
Il
serait temps que cette gauche cesse ses attaques, cela devient à la
longue lassant ... on touche même à la diffamation dans certains cas.
Et cela peut être passible de poursuites judiciaires.
Attention, la gauche s'approche trop dangereusement de la ligne jaune. Qu'ils veillent à ne pas aller trop loin ...
A bon entendeur ...